Alors que la guerre à Gaza continue de faire rage, Donald Trump affirme qu’un accord à Gaza est « proche ». Entre pressions diplomatiques, discours hostiles et initiatives croisées, la communauté internationale retient son souffle dans l’attente d’un tournant décisif.
L’ombre d’un accord à Gaza
Depuis plusieurs jours, les grandes puissances multiplient les initiatives pour trouver une issue à la guerre. La reconnaissance d’un État palestinien par plusieurs pays a ouvert une brèche diplomatique, aussitôt relayée par les pays arabes, puis scrutée par Washington. Donald Trump, en première ligne, soutient que l’accord à Gaza n’a jamais été aussi proche, insistant sur l’urgence de libérer les otages et de mettre fin aux frappes.
Les obstacles politiques
Pourtant, le discours de Benyamin Netanyahu à l’ONU a refroidi les espoirs. Qualifiant la création d’un État palestinien de « suicide national », le Premier ministre israélien a affiché sa détermination à poursuivre les opérations militaires. Ce refus frontal complique la tâche de Trump, qui mise sur la diplomatie et sur l’appui d’un plan franco-saoudien pour convaincre son allié israélien. L’équilibre reste fragile, et l’accord à Gaza pourrait s’éloigner aussi vite qu’il semble approcher.
Les prochains jours décisifs
Dans les coulisses de l’ONU, les diplomates affirment que « tout est en train de s’emboîter ». Mais la décision finale reposera sur la capacité de Trump à maintenir la pression, sans céder à ses propres revirements politiques. Si un compromis est trouvé, il marquerait un tournant majeur dans la région. Mais si Netanyahu persiste, l’accord à Gaza risque de rester une promesse suspendue, un espoir brisé par la réalité des rapports de force.
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