L’Ukraine et plusieurs pays européens unissent leurs forces pour créer un tribunal spécial chargé de juger les crimes de guerre présumés commis par la Russie depuis 2022. Cette initiative vise à combler les lacunes du droit international et à garantir que les responsables d’exactions ne restent pas impunis.
Dans une avancée diplomatique majeure, l’Ukraine et plusieurs de ses partenaires européens ont donné leur aval à la création d’un tribunal spécial chargé de juger les crimes de guerre présumés commis par la Russie depuis le début de l’invasion en 2022. Ce mécanisme judiciaire vise à combler les lacunes du droit international et à garantir que les responsables d’exactions ne restent pas impunis.
Une juridiction internationale hybride
L’initiative, soutenue par les pays baltes, la Pologne, les Pays-Bas et la France, prévoit de créer une juridiction internationale hybride. Elle sera adossée à des institutions européennes, mais fonctionnera en collaboration étroite avec les autorités ukrainiennes. L’objectif principal est de juger les plus hauts responsables politiques et militaires russes pour le crime d’agression. Ce type de crime reste difficile à poursuivre devant la Cour pénale internationale dans l’état actuel du droit.
Une avancée pour la justice et la paix
Selon la présidence ukrainienne, ce tribunal constitue « une réponse historique aux souffrances infligées au peuple ukrainien ». Il marque une étape essentielle vers une paix durable fondée sur la justice. Du côté européen, les dirigeants soulignent également la nécessité de faire respecter l’ordre international et de dissuader toute future agression militaire en Europe.
Malgré les critiques attendues de Moscou, les partisans du tribunal estiment que le droit doit prévaloir sur les rapports de force. Par ailleurs, plusieurs ONG, dont Human Rights Watch et Amnesty International, ont salué cette avancée. Elles rappellent que les preuves de crimes de guerre documentées en Ukraine sont accablantes et doivent conduire à des poursuites.
Une avancée pour la justice et la paix
Selon la présidence ukrainienne, ce tribunal constitue « une réponse historique aux souffrances infligées au peuple ukrainien » et marque une étape essentielle vers une paix durable fondée sur la justice. Du côté européen, les dirigeants insistent sur la nécessité de faire respecter l’ordre international et de dissuader toute future agression militaire en Europe.
Malgré les critiques attendues de Moscou, les partisans du tribunal estiment que le droit doit prévaloir sur les rapports de force. Plusieurs ONG, dont Human Rights Watch et Amnesty International, ont salué cette avancée, soulignant que les preuves de crimes de guerre documentées en Ukraine sont accablantes et doivent mener à des poursuites.