Le président américain confirme sa ligne climatosceptique. Alors que le monde s’apprête à débattre de l’avenir de la planète, Donald Trump COP30 fait déjà polémique. Washington ne sera pas représenté au plus haut niveau lors de la conférence mondiale sur le climat, prévue à Belém, au Brésil.
Une décision fidèle à sa politique climatosceptique
Donald Trump confirme son scepticisme envers les politiques environnementales internationales en refusant d’envoyer une délégation majeure à la COP30. Le président mise plutôt sur un « dialogue direct » avec les dirigeants mondiaux pour défendre ses priorités énergétiques et commerciales. Fidèle à sa ligne, il juge l’Accord de Paris néfaste pour l’économie américaine.
Un choix qui isole Washington sur la scène internationale
Le refus américain de participer à la COP30 au plus haut niveau est perçu comme un signe de désengagement. Alors que les grandes puissances agissent pour le climat, les États-Unis s’en éloignent. Les ONG dénoncent une « occasion manquée » et appellent Washington à assumer sa responsabilité historique.
Des répercussions diplomatiques prévisibles
L’absence de Donald Trump COP30 fragilise la coopération internationale et provoque des tensions avec l’Union européenne ainsi qu’avec plusieurs pays d’Amérique latine. Beaucoup y voient un recul stratégique à un moment critique pour le climat mondial.
Cependant, malgré les critiques, le président américain reste ferme. Sa priorité demeure la croissance économique et la souveraineté énergétique des États-Unis.
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