Alors que les pourparlers de paix entre Israël et le Hamas peinent à aboutir, Trump met en garde contre un « bain de sang massif » si aucun accord n’est trouvé avant la fin du délai fixé. Le président américain se veut néanmoins confiant, évoquant des discussions « productives » et « proches d’une issue historique ».
Des pourparlers sous haute tension
À la veille d’une nouvelle séance de négociations prévue en Égypte, Trump met en garde une fois encore les protagonistes du conflit. Selon lui, « le monde ne peut pas se permettre un nouvel épisode de destruction à Gaza ». Malgré la gravité de ses propos, il a souligné que les deux parties avaient franchi des étapes significatives, notamment sur la question sensible des échanges de prisonniers entre Israël et le Hamas.
Un ultimatum lourd de conséquences
Donald Trump avait fixé à ce dimanche 5 octobre 2025 la date limite pour que le Hamas réponde à sa proposition de cessez-le-feu. Certains points sont déjà validés, notamment les échanges de détenus vivants ou morts. Mais la question du désarmement reste le principal blocage. Trump met en garde contre les répercussions d’un refus, qu’il décrit comme une « tragédie évitable ».
Un optimisme prudent malgré la tension
Malgré les divergences, Le président américain reste convaincu qu’un accord est encore possible. Il affirme que ses émissaires travaillent sans relâche pour « mettre fin à des décennies de haine et de représailles ». Pour Trump, éviter un bain de sang exige un « courage politique rare » des deux camps. En répétant que la paix est « à portée de main », Trump met en garde tout en appelant à la raison et à la responsabilité commune.
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